Nathanaëlle Herbelin n’a pas peur du réel. C’est là que, pour ses peintures, elle puise désir, amour, humanité et poésie. Quand je lui ai demandé de peindre un nouveau-né pour la couverture du livre, je savais qu’elle rendrait l’étrange beauté de ce moment de la vie. Et elle a créé ce petit être plein de mélancolie, de vivacité et de mystère. 
(Merci à @lenouch qui a joué les entremetteuses et à @pir_maryam qui a conçu cette couverture que j’aime 💘)
« Premiers cris », le 24 janvier @editionsduseuil
Nathanaëlle Herbelin n’a pas peur du réel. C’est là que, pour ses peintures, elle puise désir, amour, humanité et poésie. Quand je lui ai demandé de peindre un nouveau-né pour la couverture du livre, je savais qu’elle rendrait l’étrange beauté de ce moment de la vie. Et elle a créé ce petit être plein de mélancolie, de vivacité et de mystère. (Merci à @lenouch qui a joué les entremetteuses et à @pir_maryam qui a conçu cette couverture que j’aime 💘) « Premiers cris », le 24 janvier @editionsduseuil
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