Chronique du Dancefloor n°2 🪩
En train de sentir mon système se réajuster avec le faite de retourner faire des nuits entières à danser. Je me suis taper une bonne sieste et avaler une pomme avant d’y aller : j’imagine que c’est le before le plus sain que j’ai jamais eu ! Arrivée devant, je vois une file de quarantenaires et je me demande si je me suis pas trompé d’endroit, ensuite, je me souviens de l’âge du patron de la soirée et je me dis juste qu’on va bien se marrer. Les soirées intergénérationnels ont tjrs été les meilleurs soirées que j’ai faite. Et puis ce soir, c’est le Grand Retour derrière des platines parisiennes du papa de la techno, celui qui fait danser toutes les générations sur la même piste de danse et juste pour ça : trop fort ! Première fois que j’ai vu Laurent Garnier j’avais 17 piges et c’était à Astro ! Où j’étais aussi aller toute seule d’ailleurs, mais j’étais bénévole donc on est jamais vraiment seul. Dernière fois, c’était à Dour 2022 et son set avait fait virevolté toute une arène. Mais ce soir, pour faire danser, il a fait danser… 4h! Je repars avec mon mal de pied. Dans ce lieu, je me suis cru dans un cirque, y’avait pas de lions mais une énergie sauvage, c’est peut-être pour ça qu’ils l’ont appelés comme ça…
À force de danser sans m’arrêter j’ai commencé à penser au film « On n’achève bien les chevaux » et du coup j’ai fais une pause… de 10 min.
N.B : vers 3-4h c’est la baisse de régime mais si tu tiens jusqu’à 5h le générateur de secours se met en marche et tu deviens inarrêtable !
N.B : l’alcool de club ne bourre pas la gueule ( il doit y avoir des études scientifiques là dessus ), tu bois juste ton argent. -Prends plutôt une petite limo artisanale