Chronique du Dancefloor n°3 🪩
Been there, done that, j’crois que c’était ma dernière ici !
Le rex club, ou le club avec la foule la plus éclectique possible : entre ceux qui suivaient la darude, les habitués du lieu, les touristes ou les gens qui ont juste échoués ici…Mais cette fois j’ai troqué mes souliers de loup solitaire et je suis venu accompagné ! Ça m’a permis d’apprendre en chemin ce qu’était les tumbleweed ( chose que je ne connaissais que des westerns ou cartoons, mais que je n’aurais jamais pu nommé ) et de découvrir leur régime de terreur sur les américains. J’ai pourtant pas lâché ma petite routine saine qui me fait tenir toute la nuit. Prête à user mes zapatos et me valoir un nouveau rdv chez l’osteo. Dans la journée, j’avais vu jouer un orchestre et dans le club j’ai pas pu m’empêcher de repenser à l’envoûtante danse des bras de la cheffe d’orchestre. Comment mon corps ressent la musique, comment mes propres bras l’expriment, d’un mouvement d’épaule jusqu’à la pointe de mes doigts… c’est un peu similaire à l’énergie invoquée par les mouvements d’un(e) chef(fe) d’orchestre. Comme si on tentait d’ausculter les variations de la musique.
N.B : l’espace de danse ou le deuxième truc le plus important après le son.
N.B : Partir plus tôt c’est juste savoir se ménager (surtout si c’est la moitié de la semaine et que tu taffes à 9h le lendemain) 👉