Chronique du Dancefloor n°5 🪩 Version Marseillaise

Je suis aller danser sur ce que Vice appelle un des derniers bastions de la fête libre à Marseille. Meta, un lieu entre club et teuf. Je suis sûrement pas tombé sur la soirée avec les sonorités que je préfère dans la musique électronique, mais j’ai découvert un lieu de fête comme il y en a peu à Paris. Un qui reste libre sans effort, authentiquement déniché pour les ravers, tout en restant bien ancré dans l’ère d’un dancefloor revendicatif. Si on cherche du confort, ce sera relatif au domaine dans lequel on en cherche. L’espace et la liberté de faire la fête avec ce qu’on veut y ajouter, au détriment d’une poignée de toilette. L’offre du rustique. Ça reste attrayant. Même si le cours d’une soirée peut pas déterminé de la valeur d’un lieu ou de son publique. Un lieu est ce qu’on lui apporte. Si on ramène une bonne énergie c’est ce qu’on aura ici, même si on est pas fan de trap…
Chronique du Dancefloor n°5 🪩 Version Marseillaise Je suis aller danser sur ce que Vice appelle un des derniers bastions de la fête libre à Marseille. Meta, un lieu entre club et teuf. Je suis sûrement pas tombé sur la soirée avec les sonorités que je préfère dans la musique électronique, mais j’ai découvert un lieu de fête comme il y en a peu à Paris. Un qui reste libre sans effort, authentiquement déniché pour les ravers, tout en restant bien ancré dans l’ère d’un dancefloor revendicatif. Si on cherche du confort, ce sera relatif au domaine dans lequel on en cherche. L’espace et la liberté de faire la fête avec ce qu’on veut y ajouter, au détriment d’une poignée de toilette. L’offre du rustique. Ça reste attrayant. Même si le cours d’une soirée peut pas déterminé de la valeur d’un lieu ou de son publique. Un lieu est ce qu’on lui apporte. Si on ramène une bonne énergie c’est ce qu’on aura ici, même si on est pas fan de trap…
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