Vous aviez aimé les "Exercices d'observation" de Nicolas Nova ? Qui s'inspirait des méthodes d'ethnologues, d'écrivains, de designers et d'artistes comme, entre autres, Tim Ingold, Sophie Calle, Annie Ernaux ou Georges Perec, pour proposer aux lecteurices des consignes pratiques pour "retrouver une sensibilité au monde, aux êtres et aux choses qui le composent" et "cultiver l'art d'observer".

Alors vous aimerez peut-être les deux parutions récentes de l'auteur :

D'abord : le "Bestiaire de l'anthropocène", inspiré par les traités médiévaux, explore les "nouveaux spécimens qui peuplent notre planète en ce début de XXIe siècle", produits par l'action de l'humain sur la nature, que ce soit dans le règne minéral, comme avec les récifs artificiels ; dans le règne animal, comme avec les vaches à hublot ; dans le règne végétal avec les pastèques carrées ; ou dans le règne des "miscellanées", comme avec le SRAS-COV-2...

En annexe, des contributions collectives parmi lesquelles celles de Alexandre Monnin et Anna Tsing, explicitent et prolongent la démarche.

Ensuite : Persistance du merveilleux est un essai inventif, qui réemploie également le modèle du bestiaire pour explorer les entités féériques qui survivent dans le numérique : les trolls des réseaux sociaux, les daemons, ces "petits programmes qui font tourner nos nos systèmes d'exploitation", ou ces monstres étranges et inquiétants que sont les intelligences artificielles. L'auteur montre ainsi "que loin d'être désenchanté, notre monde actuel peut et doit être lu comme un lieu dans lequel persiste le merveilleux".

Les trois livres sont à retrouver à la librairie, à offrir à soi ou à ses proches !
Vous aviez aimé les "Exercices d'observation" de Nicolas Nova ? Qui s'inspirait des méthodes d'ethnologues, d'écrivains, de designers et d'artistes comme, entre autres, Tim Ingold, Sophie Calle, Annie Ernaux ou Georges Perec, pour proposer aux lecteurices des consignes pratiques pour "retrouver une sensibilité au monde, aux êtres et aux choses qui le composent" et "cultiver l'art d'observer". Alors vous aimerez peut-être les deux parutions récentes de l'auteur : D'abord : le "Bestiaire de l'anthropocène", inspiré par les traités médiévaux, explore les "nouveaux spécimens qui peuplent notre planète en ce début de XXIe siècle", produits par l'action de l'humain sur la nature, que ce soit dans le règne minéral, comme avec les récifs artificiels ; dans le règne animal, comme avec les vaches à hublot ; dans le règne végétal avec les pastèques carrées ; ou dans le règne des "miscellanées", comme avec le SRAS-COV-2... En annexe, des contributions collectives parmi lesquelles celles de Alexandre Monnin et Anna Tsing, explicitent et prolongent la démarche. Ensuite : Persistance du merveilleux est un essai inventif, qui réemploie également le modèle du bestiaire pour explorer les entités féériques qui survivent dans le numérique : les trolls des réseaux sociaux, les daemons, ces "petits programmes qui font tourner nos nos systèmes d'exploitation", ou ces monstres étranges et inquiétants que sont les intelligences artificielles. L'auteur montre ainsi "que loin d'être désenchanté, notre monde actuel peut et doit être lu comme un lieu dans lequel persiste le merveilleux". Les trois livres sont à retrouver à la librairie, à offrir à soi ou à ses proches !
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