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Librairie Le Monte-en-l'air

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19 0 10 days ago
Vous aviez aimé les "Exercices d'observation" de Nicolas Nova ? Qui s'inspirait des méthodes d'ethnologues, d'écrivains, de designers et d'artistes comme, entre autres, Tim Ingold, Sophie Calle, Annie Ernaux ou Georges Perec, pour proposer aux lecteurices des consignes pratiques pour "retrouver une sensibilité au monde, aux êtres et aux choses qui le composent" et "cultiver l'art d'observer".

Alors vous aimerez peut-être les deux parutions récentes de l'auteur :

D'abord : le "Bestiaire de l'anthropocène", inspiré par les traités médiévaux, explore les "nouveaux spécimens qui peuplent notre planète en ce début de XXIe siècle", produits par l'action de l'humain sur la nature, que ce soit dans le règne minéral, comme avec les récifs artificiels ; dans le règne animal, comme avec les vaches à hublot ; dans le règne végétal avec les pastèques carrées ; ou dans le règne des "miscellanées", comme avec le SRAS-COV-2...

En annexe, des contributions collectives parmi lesquelles celles de Alexandre Monnin et Anna Tsing, explicitent et prolongent la démarche.

Ensuite : Persistance du merveilleux est un essai inventif, qui réemploie également le modèle du bestiaire pour explorer les entités féériques qui survivent dans le numérique : les trolls des réseaux sociaux, les daemons, ces "petits programmes qui font tourner nos nos systèmes d'exploitation", ou ces monstres étranges et inquiétants que sont les intelligences artificielles. L'auteur montre ainsi "que loin d'être désenchanté, notre monde actuel peut et doit être lu comme un lieu dans lequel persiste le merveilleux".

Les trois livres sont à retrouver à la librairie, à offrir à soi ou à ses proches !
Vous aviez aimé les "Exercices d'observation" de Nicolas Nova ? Qui s'inspirait des méthodes d'ethnologues, d'écrivains, de designers et d'artistes comme, entre autres, Tim Ingold, Sophie Calle, Annie Ernaux ou Georges Perec, pour proposer aux lecteurices des consignes pratiques pour "retrouver une sensibilité au monde, aux êtres et aux choses qui le composent" et "cultiver l'art d'observer". Alors vous aimerez peut-être les deux parutions récentes de l'auteur : D'abord : le "Bestiaire de l'anthropocène", inspiré par les traités médiévaux, explore les "nouveaux spécimens qui peuplent notre planète en ce début de XXIe siècle", produits par l'action de l'humain sur la nature, que ce soit dans le règne minéral, comme avec les récifs artificiels ; dans le règne animal, comme avec les vaches à hublot ; dans le règne végétal avec les pastèques carrées ; ou dans le règne des "miscellanées", comme avec le SRAS-COV-2... En annexe, des contributions collectives parmi lesquelles celles de Alexandre Monnin et Anna Tsing, explicitent et prolongent la démarche. Ensuite : Persistance du merveilleux est un essai inventif, qui réemploie également le modèle du bestiaire pour explorer les entités féériques qui survivent dans le numérique : les trolls des réseaux sociaux, les daemons, ces "petits programmes qui font tourner nos nos systèmes d'exploitation", ou ces monstres étranges et inquiétants que sont les intelligences artificielles. L'auteur montre ainsi "que loin d'être désenchanté, notre monde actuel peut et doit être lu comme un lieu dans lequel persiste le merveilleux". Les trois livres sont à retrouver à la librairie, à offrir à soi ou à ses proches !
31 1 17 hours ago
Une expérience de lecture bouleversante, qui ne laisse rien ni personne indemne.

Samy Manga, La dent de Lumumba : régicide contre la colonie, éditions Météore.

En 2022, à l'aune d'un processus de "pacification" des relations entre la Belgique et le Congo pour "tourner la page" du traumatisme colonial, une dent du leader indépendantiste Patrice Lumumba, arrachée et conservée par son assassin comme un "trophée de chasse" macabre, est restituée à sa famille. A la même période, Philippe II, roi de Belgique, est invité dans l'ancienne colonie pour offrir des "regrets" officiels.

Samy Manga, autoproclamé "président du Congo" et "du Sahara kilométrique", fils "du parlement végétal" et "des empires dissidents", refuse, considérant la démarche hypocrite et insuffisante au vu des profondeurs abyssales des atrocités commises, des "dix millions d'âmes d'élites arrachées au Congo". Il s'adresse directement au "Petit Philippe", le "cher colonisateur", l'enlève lui et sa famille, le menotte, le torture, et trimballe son corps dans tous les lieux de l'histoire coloniale belge, passée et présente. 

Dans une langue profondément incendiaire et irrévérencieuse, une transe verbale baroque qui n'est pas sans rappeler le Césaire du "Cahier d'un retour au pays natal", l'auteur exorcise brutalement les traumatismes coloniaux de ses concitoyens et rappelle au monde occidental, pour citer le titre du magnifique texte de Eve Tuck et K. Wayne Yang, que "la décolonisation n'est pas une métaphore". 

Le livre est accompagné d'une contextualisation minutieuse et bienvenue des sociologues Véronique Clette-Gakuba et David Jamar ainsi que deux textes de Patrice Lumumba : le discours d'indépendance du Congo du 30 juin 1960 et la dernière lettre qu'il a écrite à sa femme.
Une expérience de lecture bouleversante, qui ne laisse rien ni personne indemne. Samy Manga, La dent de Lumumba : régicide contre la colonie, éditions Météore. En 2022, à l'aune d'un processus de "pacification" des relations entre la Belgique et le Congo pour "tourner la page" du traumatisme colonial, une dent du leader indépendantiste Patrice Lumumba, arrachée et conservée par son assassin comme un "trophée de chasse" macabre, est restituée à sa famille. A la même période, Philippe II, roi de Belgique, est invité dans l'ancienne colonie pour offrir des "regrets" officiels. Samy Manga, autoproclamé "président du Congo" et "du Sahara kilométrique", fils "du parlement végétal" et "des empires dissidents", refuse, considérant la démarche hypocrite et insuffisante au vu des profondeurs abyssales des atrocités commises, des "dix millions d'âmes d'élites arrachées au Congo". Il s'adresse directement au "Petit Philippe", le "cher colonisateur", l'enlève lui et sa famille, le menotte, le torture, et trimballe son corps dans tous les lieux de l'histoire coloniale belge, passée et présente. Dans une langue profondément incendiaire et irrévérencieuse, une transe verbale baroque qui n'est pas sans rappeler le Césaire du "Cahier d'un retour au pays natal", l'auteur exorcise brutalement les traumatismes coloniaux de ses concitoyens et rappelle au monde occidental, pour citer le titre du magnifique texte de Eve Tuck et K. Wayne Yang, que "la décolonisation n'est pas une métaphore". Le livre est accompagné d'une contextualisation minutieuse et bienvenue des sociologues Véronique Clette-Gakuba et David Jamar ainsi que deux textes de Patrice Lumumba : le discours d'indépendance du Congo du 30 juin 1960 et la dernière lettre qu'il a écrite à sa femme.
78 1 20 hours ago
Quelques romans ados aimés et tant d'autres à vous conseiller de vive voix.
Quelques romans ados aimés et tant d'autres à vous conseiller de vive voix.
33 0 21 hours ago
Quelques albums jeunesse aimés et tant d'autres à vous conseiller de vive voix.
Quelques albums jeunesse aimés et tant d'autres à vous conseiller de vive voix.
103 0 21 hours ago
Quelques romans jeunesse aimés et tant d'autres à vous conseiller de vive voix.
Quelques romans jeunesse aimés et tant d'autres à vous conseiller de vive voix.
16 0 21 hours ago
Quelques bandes dessinées aimées et tant d'autres à vous conseiller de vive voix.
Quelques bandes dessinées aimées et tant d'autres à vous conseiller de vive voix.
132 3 a day ago
Une autre Bretagne loin des vacances, de la côte et des résidences secondaires 

Terre & humains usés 

Mon corps de ferme de Aurélie Olivier, éditions du Commun
« J’ai vécu 18 ans à l'intérieur d'une ferme
j’ai vécu 18 ans à l’extérieur d’une ferme
j’ai la majorité des deux côtés j'en ai assez des deux côtés »

Péquenaude de Juliette Rousseau  éditions Cambourakis 
À l’examen il y a les mots : péquenaud, plouc, beauf, cul-terreux. Campagnard. Je remarque : même dans les insultes, je n’existe pas. Mais en les féminisant, je glisse une première pierre à l’édifice du retour. Péquenaude. Un vent chaud dans les troènes, une haleine de stabule. Il faut savoir de quelle rugosité on émerge, pour en sentir le goût en bouche.

Champs de Bataille de Inès Leraud et Pierre van Hove, La Revue dessinée/éditions Delcourt
Le "remembrement". Cette politique décisive pour le déploiement de l'agriculture intensive a été peu documentée. Aucun livre d'histoire ou de sociologie n'a été consacré aux perdants de cette politique ni aux résistants à ce bouleversement.
Une autre Bretagne loin des vacances, de la côte et des résidences secondaires Terre & humains usés Mon corps de ferme de Aurélie Olivier, éditions du Commun « J’ai vécu 18 ans à l'intérieur d'une ferme j’ai vécu 18 ans à l’extérieur d’une ferme j’ai la majorité des deux côtés j'en ai assez des deux côtés » Péquenaude de Juliette Rousseau éditions Cambourakis À l’examen il y a les mots : péquenaud, plouc, beauf, cul-terreux. Campagnard. Je remarque : même dans les insultes, je n’existe pas. Mais en les féminisant, je glisse une première pierre à l’édifice du retour. Péquenaude. Un vent chaud dans les troènes, une haleine de stabule. Il faut savoir de quelle rugosité on émerge, pour en sentir le goût en bouche. Champs de Bataille de Inès Leraud et Pierre van Hove, La Revue dessinée/éditions Delcourt Le "remembrement". Cette politique décisive pour le déploiement de l'agriculture intensive a été peu documentée. Aucun livre d'histoire ou de sociologie n'a été consacré aux perdants de cette politique ni aux résistants à ce bouleversement.
123 0 4 days ago
Merveille aux éditions Mexico !

_______

Un livre d'art haut en couleurs, abondamment illustré, sur l'imagerie populaire russe et son influence sur les peintres d'avant-garde du début du XXe siècle. Un panorama de l'estampe populaire russe, depuis les gravures sur bois puis sur cuivre du XVIIIe siècle jusqu'aux lithographies des années 1880, réhaussées de couleurs vives, apposées à la main. Des images qui ont fasciné les peintres d'avant-garde du tournant du siècle (Kandinsky, Chagall, Larionov...) et qui ont été une source d'inspiration pour l'art moderne. 

La première partie est thématique: CHAT et TSAR, BABA YAGA, OURS, AMOURS. Des traductions des légendes illustrant ces somptueuses images permettront au lecteur de comprendre de quoi il en retourne; ainsi dans les différentes versions de l'Enterrement du Chat par les Souris. Des ours musiciens, la Baba Yaga, les héros de contes (les bogatyrs) et bylines, les colporteurs montrant les images d'êtres extraordinaires ou de villes lointaines, les bouffons et diables... La seconde partie du livre revient sur les couleurs du loubok, cas unique dans l'imagerie populaire internationale, et l'influence de ces couleurs "abstraites" et qui "débordent" sur les peintres de l'avant-garde: Larionov, Kandinsky, Chagall. Un chapitre sur le primitivisme s'intéresse aux écrits de Paul Florensky sur la perspective - et ouvre le débat sur la réception de l'imagerie populaire.

Choisissez votre couverture parmi 4 possibilités: le Chat de Kazan. / L'ours et la chèvre musiciens / Le monstre / La danse ukrainienne.
Merveille aux éditions Mexico ! _______ Un livre d'art haut en couleurs, abondamment illustré, sur l'imagerie populaire russe et son influence sur les peintres d'avant-garde du début du XXe siècle. Un panorama de l'estampe populaire russe, depuis les gravures sur bois puis sur cuivre du XVIIIe siècle jusqu'aux lithographies des années 1880, réhaussées de couleurs vives, apposées à la main. Des images qui ont fasciné les peintres d'avant-garde du tournant du siècle (Kandinsky, Chagall, Larionov...) et qui ont été une source d'inspiration pour l'art moderne. La première partie est thématique: CHAT et TSAR, BABA YAGA, OURS, AMOURS. Des traductions des légendes illustrant ces somptueuses images permettront au lecteur de comprendre de quoi il en retourne; ainsi dans les différentes versions de l'Enterrement du Chat par les Souris. Des ours musiciens, la Baba Yaga, les héros de contes (les bogatyrs) et bylines, les colporteurs montrant les images d'êtres extraordinaires ou de villes lointaines, les bouffons et diables... La seconde partie du livre revient sur les couleurs du loubok, cas unique dans l'imagerie populaire internationale, et l'influence de ces couleurs "abstraites" et qui "débordent" sur les peintres de l'avant-garde: Larionov, Kandinsky, Chagall. Un chapitre sur le primitivisme s'intéresse aux écrits de Paul Florensky sur la perspective - et ouvre le débat sur la réception de l'imagerie populaire. Choisissez votre couverture parmi 4 possibilités: le Chat de Kazan. / L'ours et la chèvre musiciens / Le monstre / La danse ukrainienne.
240 2 4 days ago
On est en place !

HORAIRES JUSQU'À NOËL 
DU LUNDI AU DIMANCHE DE 10H30 à 20h
(fermeture à 18h le 24 décembre)
On est en place ! HORAIRES JUSQU'À NOËL DU LUNDI AU DIMANCHE DE 10H30 à 20h (fermeture à 18h le 24 décembre)
103 5 4 days ago
Des petits trous, des petits trous, toujours des petits trous et trois livres aimés chez trois éditeurs indépendants 

⚫️ Le trou de Øyvind Torseter, éditions La joie de lire
Un drôle de personnage qui vient d’emménager dans un nouvel appartement découvre un trou dans son mur, un trou qui bouge et se déplace et devient vite obsédant. En désespoir de cause, l’homme appelle le centre de recherche et apporte aux scientifiques le précieux trou ! Les experts l’examineront sous toutes les coutures en le soumettant à de nombreux tests.

⚫️ Un trou c'est pour creuser, Maurice Sendak, éditions Mémo
Un trou, pour une souris, c'est une maison.
Un trou, c'est quand tu marches dedans et hop tu t'enfonces.
Un trou, c'est pour regarder dedans.
Et bien sûr, un trou, c'est pour creuser.
Miss Krauss et les nombreux enfants qui ont fait des suggestions, corrections, additions (et soustractions) pour ce livre ont abouti à ces charmantes conclusions.

⚫️ Trous, Catherine Lalonde, éditions Le Quartanier (à paraître en mars)
Par l’absence, le cassé, le manque, le rompu, le raté, dans Trous, les mots se défont. Ils filent entre les doigts, perdent la tête, dévalent, disent deux choses à la fois. La langue descend dans le corps, retourne à la pulsion, tirée vers le bas par les comptines et les mots des vieilles magies. Elle s’abandonne au rêve, à la divagation, à la jouissance, aux premiers mots des bébés, au babil obscène des amants. Devenant autre, elle embrasse le cosmos, régresse jusqu’au vide de l’origine, jusqu’à s’engendrer elle-même.
Des petits trous, des petits trous, toujours des petits trous et trois livres aimés chez trois éditeurs indépendants ⚫️ Le trou de Øyvind Torseter, éditions La joie de lire Un drôle de personnage qui vient d’emménager dans un nouvel appartement découvre un trou dans son mur, un trou qui bouge et se déplace et devient vite obsédant. En désespoir de cause, l’homme appelle le centre de recherche et apporte aux scientifiques le précieux trou ! Les experts l’examineront sous toutes les coutures en le soumettant à de nombreux tests. ⚫️ Un trou c'est pour creuser, Maurice Sendak, éditions Mémo Un trou, pour une souris, c'est une maison. Un trou, c'est quand tu marches dedans et hop tu t'enfonces. Un trou, c'est pour regarder dedans. Et bien sûr, un trou, c'est pour creuser. Miss Krauss et les nombreux enfants qui ont fait des suggestions, corrections, additions (et soustractions) pour ce livre ont abouti à ces charmantes conclusions. ⚫️ Trous, Catherine Lalonde, éditions Le Quartanier (à paraître en mars) Par l’absence, le cassé, le manque, le rompu, le raté, dans Trous, les mots se défont. Ils filent entre les doigts, perdent la tête, dévalent, disent deux choses à la fois. La langue descend dans le corps, retourne à la pulsion, tirée vers le bas par les comptines et les mots des vieilles magies. Elle s’abandonne au rêve, à la divagation, à la jouissance, aux premiers mots des bébés, au babil obscène des amants. Devenant autre, elle embrasse le cosmos, régresse jusqu’au vide de l’origine, jusqu’à s’engendrer elle-même.
41 0 9 days ago
"Des textes et des récits de vie qui se tiennent au bas du ventre comme le poids des souvenirs" 

Idées cadeau à 12 euros, merci les éditions du Commun 🖤

▶️ Se faire virer de Mabon Delattre
Manon Delatre est projectionniste dans un cinéma d’art et essai. Au début, son travail la passionne. Elle s’implique, prend des responsabilités. Mais l’épuisement et l’ennui finissent par se superposer à la joie. Elle a besoin de changer d’air. Sa direction ne l’entend pas ainsi. Refus de rupture conventionnelle. Les relations se compliquent. Une impasse qui la pousse alors à tout faire pour se faire virer.

▶️ Casser du sucre à la pioche d'Éric Louis
Mercredi 21 juin 2017. Il est 12h30. Eric Louis est d’après-midi sur le site industriel de Cristanol. Avec les autres cordistes, ils attendent de relever l’équipe dont fait partie Quentin. La chaleur, la fatigue… et cette phrase, simple et définitive, qui vient claquer à la face : « On a perdu Quentin ».

_______

La collection des réels réunit des textes et des récits de vie qui se tiennent au bas du ventre comme le poids des souvenirs.

Le réel dans sa dimension sociale, vivante, éprouvée, chahutée, le réel pour rappeler au goût de vivre, à l’autre, au commun.

C’est ce qui est, ce qui souffle en chacun et chacune d’entre nous, la pulsation et la chair.

Non-fiction, auto-fiction ou récit, le réel se matérialise par les mots et le rythme. Et c’est à travers eux que nous entrons au cœur de ce qui fait la singularité de chaque personne, son intimité.

Plus ici : https://www.editionsducommun
"Des textes et des récits de vie qui se tiennent au bas du ventre comme le poids des souvenirs" Idées cadeau à 12 euros, merci les éditions du Commun 🖤 ▶️ Se faire virer de Mabon Delattre Manon Delatre est projectionniste dans un cinéma d’art et essai. Au début, son travail la passionne. Elle s’implique, prend des responsabilités. Mais l’épuisement et l’ennui finissent par se superposer à la joie. Elle a besoin de changer d’air. Sa direction ne l’entend pas ainsi. Refus de rupture conventionnelle. Les relations se compliquent. Une impasse qui la pousse alors à tout faire pour se faire virer. ▶️ Casser du sucre à la pioche d'Éric Louis Mercredi 21 juin 2017. Il est 12h30. Eric Louis est d’après-midi sur le site industriel de Cristanol. Avec les autres cordistes, ils attendent de relever l’équipe dont fait partie Quentin. La chaleur, la fatigue… et cette phrase, simple et définitive, qui vient claquer à la face : « On a perdu Quentin ». _______ La collection des réels réunit des textes et des récits de vie qui se tiennent au bas du ventre comme le poids des souvenirs. Le réel dans sa dimension sociale, vivante, éprouvée, chahutée, le réel pour rappeler au goût de vivre, à l’autre, au commun. C’est ce qui est, ce qui souffle en chacun et chacune d’entre nous, la pulsation et la chair. Non-fiction, auto-fiction ou récit, le réel se matérialise par les mots et le rythme. Et c’est à travers eux que nous entrons au cœur de ce qui fait la singularité de chaque personne, son intimité. Plus ici : https://www.editionsducommun
198 1 9 days ago