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IDÉE CADEAU - « L’ODYSSÉE DES PETITES ÎLES ITALIENNES », Bernard Plossu. Préface de Walter Guadagnini Une odyssée intime et photographique de toute beauté. Accompagné de la photographe Françoise Nuñez et de leur fils Joaquim, Bernard Plossu part pour Stromboli en 1987. Ce voyage marque le point de départ d’une vaste odyssée photographique : pendant trente ans, il sillonne les petites îles italiennes dopo l’estate, après l’été. Si leurs paysages somptueux portent en eux l’esthétique grave des films néoréalistes des années 1950, ils sèment en même temps un grand vent de liberté dans le cœur de qui les contemple. Connues pour réhabiliter des lumières dont les autres photographes se méfient, les images de Plossu magnifient des instants simples irrigués par la poésie des jours, traductions fidèles d’une expérience sensible pleinement et intimement vécue. Ode pleine de grâce et de délicatesse adressée à la beauté sauvage de l’Italie, cette odyssée est aussi une déclaration d’amour à Françoise, l’immense amour de sa vie. EXPOSITION jusqu’au 22 décembre à la galerie du Jour Agnesb. / La Fab. Place Jean Michel Basquiat, 75013 Paris Entrée libre. Design graphique : @agnesdahanstudio @galeriedujour @la_fab_officiel Ouvrage publié avec le soutien de la Fondation Almayuda et du fonds de dotation Agnès b. #bernardplossu #plossu #photographie #photo #italie #ilesitaliennes #bookstagram #instaphoto #photography #photographer #instabook #picoftheday #photooftheday #editionstextuel

IDÉE CADEAU - « ARCHIVES DES MOUVEMENTS LGBT+. Une histoire de luttes de 1890 à nos jours », Antoine Idier. 150 ans de luttes pour les droits LGBT à travers les archives. À partir d’archives pour la plupart inédites, ce livre retrace sur la longue durée une histoire des luttes et mouvements LGBT en France. Nourri d’une investigation documentaire de grande ampleur, l’ouvrage présente une riche iconographie distribuée selon des séquences chronologiques : affiches, couvertures de journaux ou revues, tracts, correspondances, photographies… L’auteur a invité une vingtaine de grands témoins à commenter le document de leur choix. Cette pluralité des points de vue des contributeurs, chercheurs ou militants de différentes générations, permet d’incarner la diversité des mouvements rassemblés sous le nom LGBT. Des persécutions jusqu’aux premiers mariages homosexuels en passant par les années sida, ce livre montre l’ampleur des combats menés, la violence des préjugés et des injustices comme le déni des partis politiques. Différents courants de pensée se structurent au fil des décennies, les militants s’engagent dans des combats sociétaux et font preuve d’une détermination à la mesure des enjeux. Ils ouvrent la voie à une conception du vivre-ensemble qui substitue au conformisme une éthique d’ouverture sociale et culturelle. @a_idier #LGBT+ #Histoire #LGBTQ #LGBT #MarcheDesFiertes #Queer #Lesbienne #Trans #Gay #Bisexuel #Livre #Book #bookstagram #Instabook #textuel #editionstextuel

IDÉE CADEAU - « SAUVAGES », de Laurence Kubski. Textes de Valérie Chansigaud et Nathalie Herschdorfer Une passionnante enquête photographique sur les liens entre les humains et la faune sauvage. Monitorée, maîtrisée, épiée, comptabilisée, chassée ou protégée, la faune est sous contrainte humaine. Durant des mois, en Suisse, la photographe Laurence Kubski a suivi le recensement de chauves-souris aux abords de grottes, le baguage des oiseaux pendant leur migration, le survol des prés par des drones les matins des jours de fauche dans le but de repérer des faons cachés par leurs mères… En mêlant habilement images documentaires et mises en scène, Laurence Kubski s’interroge : le sauvage existe-t-il encore ? Exposition au Centre d’art contemporain Friart, à Fribourg, du 20 décembre 2024 au 2 mars 2025 Ouvrage publié en coédition avec la Bibliothèque cantonale et universitaire de Fribourg. @bcufribourg.kubfreiburg @culture.etat.fribourg @laurencekubski @valerie_chansigaud @nathalie.herschdorfer

IDÉE CADEAU - « FEMMES PHOTOGRAPHES JAPONAISES. Des années 1950 à nos jours ». Sous la direction de Pauline Vermare et Lesley A. Martin Un livre-événement qui comble une grande lacune historiographique. Cette somme met en lumière les œuvres réalisées par les femmes photographes japonaises des années 1950 à nos jours. Si la reconnaissance de la scène japonaise a surtout bénéficié aux photographes masculins depuis les années 1970, nombreuses ont pourtant été les femmes artistes qui ont joué un rôle capital dans le développement du médium, avec une indiscutable virtuosité. À travers plus de 500 images, comprenant une vaste sélection de photographies, de fac-similés de livres et une anthologie de textes, cet ouvrage révèle l’immensité de ce qui a été occulté et constitue un enrichissement critique et joyeux de l’histoire de la photographie japonaise. Cet ouvrage a été publié avec le soutien des Rencontres d’Arles, de Kering et leur programme Women In Motion LAB pour mettre en lumière les femmes dans l’histoire mondiale de la photographie ainsi que de la Fondation pour l’étude de la langue et de la civilisation japonaises. Il a également été traduit avec le concours du Centre National du Livre. @paulinevermare @la.martin_. @kellymidori1 @carriecush @marc.feustel @aperturefnd @rencontresarles @keringfoundation @kering_official @le_cnl @agnesdahanstudio @rinkokawauchi #femmephotographe #photographe #photographie #japon #photographejaponais #instabook bookstagram

IDÉE CADEAU - « RECORD 2 », Daidō Moriyama Introduction de Mark Holborn Créée par Daidō Moriyama en 1972, la revue Record est pour lui un espace d’expression à mi-chemin entre le journal intime et le journal de terrain : trois ou quatre fois par an, il y publie une sélection des photographies qu’il prend au quotidien. Ce volume, qui compile les numéros 31 à 50, présente des images prises entre 2016 et 2021. Si le plus radical des photographes japonais y exprime un point de vue plutôt contemplatif, l’œil conserve son acuité sauvage et poétique. Silhouettes énigmatiques, bouches pulpeuses, urbanité chaotique, silences suspendus, signes et présages : les photographies farouchement contrastées de Moriyama témoignent de son audace graphique et se révèlent admirablement indociles. Si la « street photography » avait un maître, ce serait Daido Moriyama à qui la rue a fourni assez de nourriture visuelle pour toute une vie et qui revendique d’ailleurs lui-même la position du « chien errant » ! Né en 1938, membre du groupe « Provoke » à la fin des années 1960, Daido Moriyama poursuit une œuvre brute, exposée dans le monde entier. Son travail a eu un impact radical sur le monde artistique tant au Japon qu’en Occident. Exposition Daidō Moriyama, une rétrospective présentée par Photo Elysée du 6 septembre 2024 au 12 janvier 2025. @daidomoriyamaphotofoundation @thamesandhudson #daidomoriyama #photographie #streetphotographie #japon #photographejaponais #photoderue #revuerecord #recordjapon #editionstextuel

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🎄La bibliothèque de l’Avent de France PhotoBook - Jour 13 En décembre découvrez chaque jour une publication d’un des éditeurs membres de France PhotoBook ! Aujourd’hui @editions_textuel nous présente L’Odyssée des petites italiennes de Bernard Plossu. 📚Disponible en ligne @editions_textuel ou dans toutes les bonnes librairies. 🎄 France PhotoBook Advent Library - Day 13 This December, discover a publication from one of France PhotoBook’s member publishers every day! Today, @editions_textuel presents L’Odyssée des petites italiennes by Bernard Plossu. 📚 Available online at @editions_textuel or at all good bookstores. @actessud @andrefrere_editions @bizalionarnaud @atelier_exb @chose_commune @editionscontrejour @creaphis_editions @editionsbessard @editionsdunerivealautre @filigranes @fisheye_editions @hartpon @iikki_laaps @imagesplurielleseditions @editions.lamaindonne @lamaisondez @lebecenlair @editionsdejuillet @ed_lightmotiv @loco_editions @maisoncf @poetrywanted @revelatoer @ruedubouquet @rvb_books @sunsun_editions @editions_textuel @themthemthemthem @theeyespublishing @gaesslerdominique

IDÉE CADEAU - « QUESTION DE COULEUR », Joel Meyerowitz . Nous sommes en 1962 et le jeune Joel Meyerowitz ne sait pas encore que cette simple question du vendeur de pellicules photo va le plonger dans d’intenses réflexions esthétiques, voire métaphysiques. La couleur fait à l’époque l’objet d’un préjugé tenace : désignée comme vulgaire, elle est alors réservée aux amateurs et à la publicité, a contrario du noir et blanc considéré comme « noble ». Nourri par ses discussions passionnées avec ses amis photographes Tony Ray-Jones et Garry Winogrand, Meyerowitz cherche son vocabulaire et commence alors à photographier en parallèle avec deux boîtiers, l’un pour le noir et blanc, l’autre pour la couleur. Très vite, celle-ci lui semble exprimer avec plus de tension dramatique, de poésie et de sensibilité la subtilité d’une atmosphère, d’un moment de la journée, d’une carnation – quand le noir et blanc réduit tout à une forme graphique. En s’appuyant sur les images jumelles nées de cette surprenante pratique, Meyerowitz raconte avec brio ses années d’apprentissage, celles de l’un des grands pionniers de la photographie couleur. @joel_meyerowitz @thamesandhudson @polkagalerie Couverture : @agnesdahanstudio #joelmeyerowitz #meyerowitz #retrospection #streetphotography #photos #photography #picoftheday #instagood #picture #photograph #pictureoftheday #art #photooftheday #artlover #instaart#photographer #instaphoto #photobook #beauxlivres #editionstextuel #textuel

IDÉE CADEAU « VOYAGE VERS LE CENTRE DU MONDE », Cristina De Middel Epopée fantastique aux côtés des migrants d’Amérique centrale « Depuis 2015, date à laquelle j’ai commencé le projet, j’ai rencontré des migrants à différentes étapes de leur périple, j’ai voyagé avec eux dans le train qu’ils appellent la Bête, j’ai interviewé des tueurs à gages (sicarios) et des passeurs (coyotes). J’ai aussi fait des recherches sur les paysages et l’iconographie afin de présenter le décor de cette aventure, le Mexique, comme le pays fascinant, immense et extrême qu’il est.» Cristina De Middel présente la route migratoire qui traverse le Mexique comme un voyage héroïque : sans renier la violence et les dangers qu’affrontent les migrants, elle construit une épopée sublime renversant les stéréotypes. Associant ses images mises en scène teintées de réalisme magique avec des photos d’archives et des objets trouvés dans le désert, elle interroge la relation ambiguë que la photographie entretient avec la vérité. Les témoignages d’Elad, parti du Cameroun, de Noémie, originaire d’Haïti, ou de Lirian et Yariel venus de Cuba incarnent avec force la diversité de ces parcours convergeant tous vers la frontière Mexique-Etats-Unis. L’entretien de Jacques-André Istel, étonnant maire de Felicity , lieu-dit proche de la frontière autoproclamé centre du Monde par son fondateur ou le merveilleux texte du journaliste mexicain Pedro Anza «Trouver le centre» font résonner les images de Cristina De Middel. Cet ouvrage a été publié avec le soutien d’Olivier Legrain,créateur du fonds de dotation Riace France pour les migrants et d’Amnesty International France. Photographe et commissaire : Cristina De Middel @lademiddel Magnum Photos @magnumphotos Co-producteur : RM editorial @editorial_rm Design graphique : @estudioherrera Ouvrage publié avec le soutien d’Amnesty International et d’Olivier Legrain. @rencontresarles

Dear friends, I’m so happy to announce my new book ‘Sauvages’ published by @editions_textuel and @bcufribourg.kubfreiburg is out! Chers amis, je suis très heureuse de vous annoncer la sortie de mon nouveau livre « Sauvages » publié aux @editions_textuel et @bcufribourg.kubfreiburg ! Special tip for people living in 🇨🇭 : Bookshop of BCU-FR 💡 https://www.fr.ch/bcu/app/bcu_shop/485 Bookshop of Friart 💡 https://friart.ch/fr/shop/publication-laurence-kubski . « SAUVAGES », Laurence Kubski. Textes de Valérie Chansigaud et @nathalie.herschdorfer Ouvrage publié en coédition avec la Bibliothèque cantonale et universitaire de Fribourg. Une passionnante enquête photographique sur les liens entre les humains et la faune sauvage. Monitorée, maîtrisée, épiée, comptabilisée, chassée ou protégée, la faune est sous contrainte humaine. Durant des mois, en Suisse, la photographe Laurence Kubski a suivi le recensement de chauves-souris aux abords de grottes, le baguage des oiseaux pendant leur migration, le survol des prés par des drones les matins des jours de fauche dans le but de repérer des faons cachés par leurs mères… En mêlant habilement images documentaires et mises en scène, Laurence Kubski s’interroge : le sauvage existe-t-il encore ? Laurence Kubski est une photographe suisse née en 1986. Son travail est centré sur l’interaction entre les humains et l’animal dans différentes cultures. Elle a été finaliste du concours de photographie de Hyères à la Villa Noailles en 2024 comme en 2020. Son premier livre, Crickets, a été publié par Simonett & Baer en 2020. Exposition au Centre d’art contemporain @friart.kunsthalle à Fribourg, du 21 décembre 2024 au 2 mars 2025 @editions_textuel @bcufribourg.kubfreiburg @culture.etat.fribourg @laurencekubski #valerie_chansigaud #nathalieherschdorfer #laurencekubski #enquêtephotographiquefribourgeoise

IDÉE CADEAU - « CITOYENS MODÈLES », Debi Cornwall. Textes de Vanessa Codaccioni et Kris Paulsen Avocate devenue artiste, Debi Cornwall décrypte les travers de la société étasunienne. Dans Citoyens modèles, la photographe Debi Cornwall explore la frontière entre réalité et imaginaire, vérité et post-vérité, remettant en question la fonction de la photographie comme preuve. « Comment la mise en scène, la performance et le jeu de rôle peuvent-ils nourrir notre réflexion sur la citoyenneté, dans un pays si violent que les habitants ne sont même plus d’accord sur ce qui est vrai ou non ? » se demande-t-elle. Elle mène cette enquête sur trois terrains à travers les États-Unis : les séances d’entraînement de la Patrouille frontalière, durant lesquelles policiers et comédiens simulent de potentielles menaces pour la sécurité intérieure ; les meetings pro-Trump, où les symboles du patriotisme sont exhibés avec ostentation ; et les musées historiques mettant en scène différentes guerres, dans lesquelles les Étasuniens sont présentés comme des vainqueurs héroïques ou des victimes innocentes. Ancienne avocate en droit civil devenue artiste, Debi Cornwall mobilise l’absurde et l’humour noir pour décrypter les travers de la société étasunienne, notamment sa peur d’un « autre » forcément menaçant. Ses images dénoncent un phénomène mondial : l’obsession sécuritaire, qui connaît un essor sans précédent jusqu’en France. Photographe : Debi Cornwall @debicornwall Textes : Kris Paulsen et Vanessa Codaccioni @vanessacodaccioni Commissaires : Nathalie Herschdorfer @nathalie.herschdorfer et Lydia Dorner Co-producteur : Radius Books @radius.books et Photo Elysée @photo.elysee Ouvrage publié dans le cadre du prix Elysée, fruit d’un partenariat exclusif entre Photo Elysée et Parmigiani Fleurier. @rencontresarles #photo #photographie #femmephotographe #debicornwall #editionstextuel

** PROCHAINE RENCONTRE, JEUDI 12 DECEMBRE A 18H30*** Nous avons le plaisir de recevoir Claire Cosquer pour la présentation de l'ouvrage co-écrit avec Solène Brun (@solene.m.brun), "La domination blanche", paru aux éditions Textuel (@editions_textuel) « « Tous les blancs ne sont pas racistes ! » Non, et alors ? Que toutes les personnes blanches n’adhèrent pas à une idéologie raciste va de soi. Cela ne change rien au fait qu’elles sont mieux traitées que les autres. Tout le problème est de comprendre pourquoi. La notion de « privilège blanc » suscite la panique des réactionnaires qui crient au « racisme anti-blanc ». Pourtant, comme le montrent Solène Brun et Claire Cosquer, la domination blanche est une réalité indiscutable. Le racisme est aussi le problème des blanc·hes ! Les inégalités raciales ne créent pas seulement des minorités discriminées. Elles façonnent également une majorité jouissant de nombreux avantages. Mais qui sont les blanc·hes ? En quoi le fait d’être reconnu·e comme blanc·he est-il un avantage dans la plupart des sociétés contemporaines ? Comment cette identité a-t-elle été politisée ? Peut-on trahir sa race et choisir le camp de la justice sociale ? » La rencontre sera, comme d’habitude, suivie d’un apéritif. On se réjouit ! Des masques de protection et du gel hydro-alcoolique seront à disposition pour les personnes qui le souhaitent. Nous avons à présent une rampe d'accès pour les personnes qui en auraient besoin. Visu : @stupeurandtremblements