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Ilyas « @ilyasrmili_ » : un parcours entre mannequinat et éducation :

Ilyas Rmili, 27 ans, incarne un parcours atypique qui allie passion pour la mode et engagement dans l’éducation spécialisée. Arrivé à Paris il y a quatre ans, il n’avait pas initialement envisagé une carrière dans le mannequinat.

Né à Toulon, dans le quartier de La Beaucaire, dans le sud de la France, il explique que la mode y est moins accessible. C’est par hasard qu’il a été repéré : au départ, il pensait qu’il s’agissait d’une blague d’un ami lorsqu’un scout l’a contacté sur les réseaux sociaux.

À son arrivée à Paris, les débuts n’ont pas été simples. Les castings se faisaient rares, en plein cœur de la pandémie de Covid-19. Pourtant, Ilyas restait serein : il savait que s’il ne perçait pas dans le mannequinat, il pourrait toujours revenir à sa formation d’éducateur spécialisé. Cette stabilité mentale lui a permis de gérer l’incertitude du milieu de la mode et d’éviter la pression excessive qui l’accompagne souvent.

Garder sa casquette d’éducateur spécialisé était essentiel pour lui. Après une première année consacrée entièrement au mannequinat, il a choisi de reprendre son activité dans l’éducation spécialisée, tout en poursuivant sa carrière dans la mode.

Aujourd’hui, Ilyas trouve son équilibre en jonglant entre ces deux vocations. À Paris, il travaille auprès d’adolescents et d’adultes atteints de troubles psychologiques et de troubles neuro-développementaux, une activité qui lui procure un profond sentiment d’accomplissement. Pour lui, le mannequinat est avant tout un moyen d’exprimer sa passion pour la mode, tout en gardant une vision réaliste sur la précarité du secteur. Cette approche lui permet de rester lucide et d’éviter les frustrations souvent associées à ce milieu.

En combinant l’art du mannequinat et l’engagement social, Ilyas réussit à trouver un équilibre entre créativité et pragmatisme. Son parcours illustre comment suivre ses convictions, tout en adoptant une attitude positive, peut permettre de naviguer dans des environnements incertains, tout en restant fidèle à soi-même.
Ilyas « @ilyasrmili_ » : un parcours entre mannequinat et éducation : Ilyas Rmili, 27 ans, incarne un parcours atypique qui allie passion pour la mode et engagement dans l’éducation spécialisée. Arrivé à Paris il y a quatre ans, il n’avait pas initialement envisagé une carrière dans le mannequinat. Né à Toulon, dans le quartier de La Beaucaire, dans le sud de la France, il explique que la mode y est moins accessible. C’est par hasard qu’il a été repéré : au départ, il pensait qu’il s’agissait d’une blague d’un ami lorsqu’un scout l’a contacté sur les réseaux sociaux. À son arrivée à Paris, les débuts n’ont pas été simples. Les castings se faisaient rares, en plein cœur de la pandémie de Covid-19. Pourtant, Ilyas restait serein : il savait que s’il ne perçait pas dans le mannequinat, il pourrait toujours revenir à sa formation d’éducateur spécialisé. Cette stabilité mentale lui a permis de gérer l’incertitude du milieu de la mode et d’éviter la pression excessive qui l’accompagne souvent. Garder sa casquette d’éducateur spécialisé était essentiel pour lui. Après une première année consacrée entièrement au mannequinat, il a choisi de reprendre son activité dans l’éducation spécialisée, tout en poursuivant sa carrière dans la mode. Aujourd’hui, Ilyas trouve son équilibre en jonglant entre ces deux vocations. À Paris, il travaille auprès d’adolescents et d’adultes atteints de troubles psychologiques et de troubles neuro-développementaux, une activité qui lui procure un profond sentiment d’accomplissement. Pour lui, le mannequinat est avant tout un moyen d’exprimer sa passion pour la mode, tout en gardant une vision réaliste sur la précarité du secteur. Cette approche lui permet de rester lucide et d’éviter les frustrations souvent associées à ce milieu. En combinant l’art du mannequinat et l’engagement social, Ilyas réussit à trouver un équilibre entre créativité et pragmatisme. Son parcours illustre comment suivre ses convictions, tout en adoptant une attitude positive, peut permettre de naviguer dans des environnements incertains, tout en restant fidèle à soi-même.
633 45 15 days ago
Rencontre avec Elias @overtimeelias Konaté, jeune homme d’origines burkinabé et algérienne, né et ayant grandi dans le 19e arrondissement de Paris.

Passionné par l’escrime, Elias débute ce sport mais se heurte à une fracture sociale dans un club où il est l’un des trois racisés sur 300 licenciés. Ce sentiment de différence raciale affecte sa motivation, et il abandonne l’escrime.

Il se tourne alors vers le basket, découvert avec ses amis au terrain Curial. Attiré par la stratégie et la technique, il rejoint un club, mais se rend vite compte que la compétition ne lui convient pas. Il décide alors de se concentrer sur une carrière dans le milieu du basket, cherchant un rôle plus concret. À l’université, il est contacté par Overtime, un média qu’il suit déjà et qu’il rencontre au Quai 54. Demandant à être témoin de la culture du basket à Paris, Elias les reçoit au terrain Curial, ayant pris le soin d’avoir prévenu tout son quartier pour marquer le coup.

Parallèlement, Elias rejoint le collectif All Parisian Games, où il participe au développement de l’événement sur les réseaux sociaux. Cette période, entouré de personnes partageant ses valeurs de transmission et de culture basket, devient pour lui la plus enrichissante.

Du côté familial, le choix d’Elias est mal compris. Dans une culture où la priorité est de « survivre » en trouvant un travail stable, il est difficile pour ses proches de concevoir qu’on puisse vivre de sa passion. Ce n’est qu’en 2022, après une campagne avec Jordan, que sa mère commence à réaliser l’ampleur de son travail en voyant son visage sur un panneau publicitaire dans le métro.

Le parcours d’Elias a été semé d’embûches. Il a traversé des phases sombres mentalement, mais a continué d’avancer pour « survivre ». Ce n’est qu’en prenant conscience de ses difficultés émotionnelles, grâce à son ami @newlittlegiant qu’il a trouvé la force de faire face.

L’aspect communautaire du basket est essentiel pour Elias. Organiser des événements pour les jeunes de son quartier et transmettre la culture basket est une priorité. Il veut redonner à la vie ce qu’il a reçu : l’encadrement, la confiance et le soutien de son collectif et de son quartier.
Rencontre avec Elias @overtimeelias Konaté, jeune homme d’origines burkinabé et algérienne, né et ayant grandi dans le 19e arrondissement de Paris. Passionné par l’escrime, Elias débute ce sport mais se heurte à une fracture sociale dans un club où il est l’un des trois racisés sur 300 licenciés. Ce sentiment de différence raciale affecte sa motivation, et il abandonne l’escrime. Il se tourne alors vers le basket, découvert avec ses amis au terrain Curial. Attiré par la stratégie et la technique, il rejoint un club, mais se rend vite compte que la compétition ne lui convient pas. Il décide alors de se concentrer sur une carrière dans le milieu du basket, cherchant un rôle plus concret. À l’université, il est contacté par Overtime, un média qu’il suit déjà et qu’il rencontre au Quai 54. Demandant à être témoin de la culture du basket à Paris, Elias les reçoit au terrain Curial, ayant pris le soin d’avoir prévenu tout son quartier pour marquer le coup. Parallèlement, Elias rejoint le collectif All Parisian Games, où il participe au développement de l’événement sur les réseaux sociaux. Cette période, entouré de personnes partageant ses valeurs de transmission et de culture basket, devient pour lui la plus enrichissante. Du côté familial, le choix d’Elias est mal compris. Dans une culture où la priorité est de « survivre » en trouvant un travail stable, il est difficile pour ses proches de concevoir qu’on puisse vivre de sa passion. Ce n’est qu’en 2022, après une campagne avec Jordan, que sa mère commence à réaliser l’ampleur de son travail en voyant son visage sur un panneau publicitaire dans le métro. Le parcours d’Elias a été semé d’embûches. Il a traversé des phases sombres mentalement, mais a continué d’avancer pour « survivre ». Ce n’est qu’en prenant conscience de ses difficultés émotionnelles, grâce à son ami @newlittlegiant qu’il a trouvé la force de faire face. L’aspect communautaire du basket est essentiel pour Elias. Organiser des événements pour les jeunes de son quartier et transmettre la culture basket est une priorité. Il veut redonner à la vie ce qu’il a reçu : l’encadrement, la confiance et le soutien de son collectif et de son quartier.
1.2K 55 a month ago
Rencontre avec Marianne Costade « @ooomarianne ». Née en France, d’origine sénégalaise et congolaise, Marianne incarne un noble sentiment de confiance en elle. Cependant, elle nous explique que cela n’a pas toujours été le cas en raison de ses origines socio-culturelles.

C’est à son retour en France qu’elle se rend compte d’une certaine fracture sociale. Dans un environnement principalement blanc, elle subit du harcèlement en raison de sa couleur de peau. Elle explique toutefois que cette violence provenait également de certains de ses pairs qui lui préconisaient d’éclaircir sa peau afin d’être « plus jolie ».

Marianne a grandi en essuyant des remarques racistes et négrophobes qui l’ont empêchée de s’épanouir dans un cercle de confiance. Elle nous explique que cela a entraîné une certaine difficulté vis-à-vis de son identité.

Aujourd’hui, Marianne utilise cet arrière-plan social comme une force. Elle se consacre corps et âme à la recherche de coiffures ancestrales africaines afin de mettre en lumière son héritage.

Les coiffures ne sont pas uniquement une affaire de style, mais un lien profond avec ses racines, visant à rendre hommage aux traditions et à ses ancêtres pour les faire perdurer dans le temps.

Parfois, le doute subsiste. Est-ce que la coiffure lui ira bien en fonction des standards présents ? Cependant, cela ne l’empêche pas de franchir le pas, étant donné que l’important n’est pas d’être jugée « jolie ».

Les objectifs réels sont multiples. D’une part, la volonté d’inspirer les générations de femmes noires à venir qui seront confrontées à ce même genre de traumatismes, mais également de lutter contre le phénomène de mode passagère afin de devenir, à son tour, une icône.

Photos prises par moi-même.
Slide 6-7-8 par @ooomarianne ❤️
Rencontre avec Marianne Costade « @ooomarianne ». Née en France, d’origine sénégalaise et congolaise, Marianne incarne un noble sentiment de confiance en elle. Cependant, elle nous explique que cela n’a pas toujours été le cas en raison de ses origines socio-culturelles. C’est à son retour en France qu’elle se rend compte d’une certaine fracture sociale. Dans un environnement principalement blanc, elle subit du harcèlement en raison de sa couleur de peau. Elle explique toutefois que cette violence provenait également de certains de ses pairs qui lui préconisaient d’éclaircir sa peau afin d’être « plus jolie ». Marianne a grandi en essuyant des remarques racistes et négrophobes qui l’ont empêchée de s’épanouir dans un cercle de confiance. Elle nous explique que cela a entraîné une certaine difficulté vis-à-vis de son identité. Aujourd’hui, Marianne utilise cet arrière-plan social comme une force. Elle se consacre corps et âme à la recherche de coiffures ancestrales africaines afin de mettre en lumière son héritage. Les coiffures ne sont pas uniquement une affaire de style, mais un lien profond avec ses racines, visant à rendre hommage aux traditions et à ses ancêtres pour les faire perdurer dans le temps. Parfois, le doute subsiste. Est-ce que la coiffure lui ira bien en fonction des standards présents ? Cependant, cela ne l’empêche pas de franchir le pas, étant donné que l’important n’est pas d’être jugée « jolie ». Les objectifs réels sont multiples. D’une part, la volonté d’inspirer les générations de femmes noires à venir qui seront confrontées à ce même genre de traumatismes, mais également de lutter contre le phénomène de mode passagère afin de devenir, à son tour, une icône. Photos prises par moi-même. Slide 6-7-8 par @ooomarianne ❤️
716 24 a month ago
had a lot of fun @artbasel ❤️
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3 7 2 months ago
@tiakola meloooo
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591 18 2 months ago
@emrata and some (pretty) guests at @loewe 
for @konbini
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454 4 3 months ago
a kid named @kidcudi , @alainpaul backstage
special thanks @konbini @la__malbec @alexandreduarte__ ❤️
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409 9 3 months ago
MIXTAPE PLUTO ‘024 🐶🐶 @future
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3.2K 77 3 months ago
@acnestudios first row with @johnnyjsuh , @amandasteinberg and more
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357 22 3 months ago
@wolfiecindy at @casablancabrand . first row & runway session 
@parisfashionweek
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875 29 3 months ago
@rosalia.vt & @ralphiechoo cutest ones 🌹⭐️

special thanks @konbini @alexandreduarte__ @flaviolet @planckie_brewster @jojo_tulipe @albertcusell ❤️
627 36 3 months ago
PORTRAIT - PHOTOGRAPHE (@hazembsm)

Hazem est un jeune photographe autodidacte d’origine tunisienne qui a débuté il y a deux ans. 

D’abord passionné par l’argentique, puis passé au numérique, il capture la vie quotidienne et les événements. 

Son travail a rapidement fait le tour des réseaux sociaux. Influencé par la photographie rétro et africaine, il se fait un nom dans la photographie d’événements tout en refusant d’être catégorisé. 

Sa passion authentique et son parcours atypique font la force de son art. Pour Hazem, tout peut être de l’art si tu suis ton cœur et ton envie.

Credit photos by @hazembsm pour @konbini (2024)

Article complet sur hytrape.com
PORTRAIT - PHOTOGRAPHE (@hazembsm) Hazem est un jeune photographe autodidacte d’origine tunisienne qui a débuté il y a deux ans. D’abord passionné par l’argentique, puis passé au numérique, il capture la vie quotidienne et les événements. Son travail a rapidement fait le tour des réseaux sociaux. Influencé par la photographie rétro et africaine, il se fait un nom dans la photographie d’événements tout en refusant d’être catégorisé. Sa passion authentique et son parcours atypique font la force de son art. Pour Hazem, tout peut être de l’art si tu suis ton cœur et ton envie. Credit photos by @hazembsm pour @konbini (2024) Article complet sur hytrape.com
645 11 5 months ago