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Jean-Pierre Montal

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Jean-Pierre Montal Profile Information

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On ne s’en lasse pas. Olympiades.
On ne s’en lasse pas. Olympiades.
63 3 2 days ago
Skyline d’un seul immeuble.
Skyline d’un seul immeuble.
42 2 6 days ago
C’est un film qui tend d’abord un piège : celui du film excentrique, « rock », « déjanté ». Mais non : Fotogenico, c’est avant tout une histoire poignante, un mélo (à sa façon, disons, cabossée) sur la trame la plus triste qui soit : un père et une fille qui se sont loupés et qui ne pourront plus jamais rattraper ça (entre un père et un fils, il entre toujours une part de rivalité, plus « énergique », moins complexe au fond.) L’une des grandes trouvailles est le caractère du personnage principal : brisé mais volontaire, perdu mais avec un but, décidé à convaincre tout le monde autour de lui malgré le défaitisme général. On veut absolument que cet homme réussisse son coup. On regarde presque le film en supporter, pour le soutenir, l’encourager. Et puis « Fotogenico » parle aussi de l’importance que peut avoir un disque à certains moments de la vie, de la sensation unique de jouer dans un groupe. Pas des petits sujets… Resultat : Le film ne ressemble à aucun autre et ça, ça n’arrive pas tous les jours. Bravo à @marciaromano___  et @benoitsabatier__ (Ps : satisfaction quand parmi toutes les références, surgit soudain le visuel de pochette de « crisis ? What crisis ? » de supertramp, grande classe contre-cool ! Rehab ! ) (Ps bis : il y a un charme supplémentaire  pour tous ceux qui, comme moi, ont un faible pour Roanne et sa région.) @fotogenicolefilm
C’est un film qui tend d’abord un piège : celui du film excentrique, « rock », « déjanté ». Mais non : Fotogenico, c’est avant tout une histoire poignante, un mélo (à sa façon, disons, cabossée) sur la trame la plus triste qui soit : un père et une fille qui se sont loupés et qui ne pourront plus jamais rattraper ça (entre un père et un fils, il entre toujours une part de rivalité, plus « énergique », moins complexe au fond.) L’une des grandes trouvailles est le caractère du personnage principal : brisé mais volontaire, perdu mais avec un but, décidé à convaincre tout le monde autour de lui malgré le défaitisme général. On veut absolument que cet homme réussisse son coup. On regarde presque le film en supporter, pour le soutenir, l’encourager. Et puis « Fotogenico » parle aussi de l’importance que peut avoir un disque à certains moments de la vie, de la sensation unique de jouer dans un groupe. Pas des petits sujets… Resultat : Le film ne ressemble à aucun autre et ça, ça n’arrive pas tous les jours. Bravo à @marciaromano___ et @benoitsabatier__ (Ps : satisfaction quand parmi toutes les références, surgit soudain le visuel de pochette de « crisis ? What crisis ? » de supertramp, grande classe contre-cool ! Rehab ! ) (Ps bis : il y a un charme supplémentaire pour tous ceux qui, comme moi, ont un faible pour Roanne et sa région.) @fotogenicolefilm
44 7 6 days ago
L’inespérée  équipe de la revue @zonecritique m’a demandé de répondre à cette question « Quelle est l’expérience la plus inexplicable que vous ayez vécue ? ». Ça donne ce texte, publié dans leur numéro, consacré aux « Spectres ». Les contributions sont passionnantes, déroutantes, la direction artistique superbe… cette fin d’année a de la gueule. Merci (et bravo !) @pierrepolie  et @chardotp
L’inespérée équipe de la revue @zonecritique m’a demandé de répondre à cette question « Quelle est l’expérience la plus inexplicable que vous ayez vécue ? ». Ça donne ce texte, publié dans leur numéro, consacré aux « Spectres ». Les contributions sont passionnantes, déroutantes, la direction artistique superbe… cette fin d’année a de la gueule. Merci (et bravo !) @pierrepolie et @chardotp
86 2 7 days ago
Nouvel épisode de mon Michelin des fast food, des chaînes, des ZA et des ZI dans le superbe numéro de @gonzai_magazine, sous la houlette de @bester_thomas et l’œil souverain de @quentinhourie . « I drive fast cars and I eat fast food, » comme le chante Dylan (même si, dans mon cas, c’est surtout valable pour la nourriture malheureusement…) Aire de Nemours, ZAC d’albasud, ZI de Mably, me voilà !
Nouvel épisode de mon Michelin des fast food, des chaînes, des ZA et des ZI dans le superbe numéro de @gonzai_magazine, sous la houlette de @bester_thomas et l’œil souverain de @quentinhourie . « I drive fast cars and I eat fast food, » comme le chante Dylan (même si, dans mon cas, c’est surtout valable pour la nourriture malheureusement…) Aire de Nemours, ZAC d’albasud, ZI de Mably, me voilà !
80 13 14 days ago
Pendant longtemps, je n’ai rien lu du tout, si ce n’est des dos de pochettes de disques (au fond, je crois n’avoir jamais compris les gens qui lisent très jeunes, ça m’a toujours paru étrange, c’est une connerie, je sais). Mais, étrangement, j’aimais l’idée de créer des histoires, je me disais que c’était pour moi, cette affaire. Et que, si un jour, je me mettais à écrire un truc, je voudrais qu’il ressemble à la fin d’Annie Hall. Alvy retrouve Annie, ils déjeunent ensemble, la scène est filmée à travers la vitre du restaurant… la musique reprend les accords de la chanson qu’Annie chantait dans un club quelques minutes plus tôt… la perfection, sans jamais appuyer le trait. Tchekhov à New York. Cette merveille doit énormément à Marshall Brickman dont je viens d’apprendre la mort.
Pendant longtemps, je n’ai rien lu du tout, si ce n’est des dos de pochettes de disques (au fond, je crois n’avoir jamais compris les gens qui lisent très jeunes, ça m’a toujours paru étrange, c’est une connerie, je sais). Mais, étrangement, j’aimais l’idée de créer des histoires, je me disais que c’était pour moi, cette affaire. Et que, si un jour, je me mettais à écrire un truc, je voudrais qu’il ressemble à la fin d’Annie Hall. Alvy retrouve Annie, ils déjeunent ensemble, la scène est filmée à travers la vitre du restaurant… la musique reprend les accords de la chanson qu’Annie chantait dans un club quelques minutes plus tôt… la perfection, sans jamais appuyer le trait. Tchekhov à New York. Cette merveille doit énormément à Marshall Brickman dont je viens d’apprendre la mort.
41 0 16 days ago
« Loin des théories actuelles faisant de la littérature un atelier de conscience sociale, il prouve qu’elle est un style avant tout. » La face nord est dans @artpress.revue sous l’œil de Yan Céh (@cehnotaphes )
« Loin des théories actuelles faisant de la littérature un atelier de conscience sociale, il prouve qu’elle est un style avant tout. » La face nord est dans @artpress.revue sous l’œil de Yan Céh (@cehnotaphes )
89 1 24 days ago
À Toulon. Un bonheur pour celui qui lève la tête.
À Toulon. Un bonheur pour celui qui lève la tête.
103 1 a month ago
« I don’t want to spoil the party » mais… ok, je ne suis pas critique (je n’en ai ni le goût, ni la rigueur). Et, circonstance aggravante, je ne suis pas un spécialiste du cinéma d’Alain Guiraudie (dont j ai vu seulement quelques films) Mais, devant l’accueil unanime réservé à Miséricorde, je m’interroge. A la sortie de la salle, personne n’a pensé que cet « arrangement » général sur le dos d’un mort était un peu… gênant ? « Abusé », comme on dit. Ce serait le bon mot d’ailleurs, il abuse un peu, le réalisateur, en tuant comme ça lui chante pour que son film avance et en vienne à parler des sujets qui l’intéressent. Si on se trouvait dans le registre de la pure comédie, ou dans la farce macabre façon famille adams, pourquoi pas mais ce n’est pas le cas, on en conviendra (la scène du crime se veut au contraire très réaliste). Même la mere du mort s’en moque complètement à la fin. Tout le monde s’endort dans le même lit ou avec une érection rédemptrice. En plus, on a bien pris soin de nous montrer avant que le cadavre en question était chiant, insistant, violent, lourd. Il ne l’aurait pas volé cet assassinat en quelque sorte. Bien sûr, le film a des qualités. Les lieux sont superbement filmés, le rythme déroutant à souhait. Mais enfin… reste un drôle de goût que tout le monde semble faire passer avec une phrase un oeu énigmatique, devenue un mantra quasi publicitaire : « un film sur la force du désir ». Certes, le désir, ce n’est pas rien, gros sujet et je ne me lance pas dans le business aujourd’hui juteux des ligues de vertu. Mais… Je me demande si ce film n’est pas plus attentif aux commentaires sur son histoire qu’à son histoire elle-même. S’il ne se concentre pas plutôt sur ce qu’il veut dire que sur ce qu’il dit vraiment. Ou alors, j’ai manqué quelque chose, ce qui est fort possible (peut-être un truc comme « celui qui s’oppose au désir des autres le paie », mouais… un peu facile, non ?) Je le répète, je ne suis pas critique. Moi, mon boulot consiste à affabuler. Mais ça n’empêche pas de le faire avec un peu de sérieux, par exemple quand on crée et tue un personnage.
« I don’t want to spoil the party » mais… ok, je ne suis pas critique (je n’en ai ni le goût, ni la rigueur). Et, circonstance aggravante, je ne suis pas un spécialiste du cinéma d’Alain Guiraudie (dont j ai vu seulement quelques films) Mais, devant l’accueil unanime réservé à Miséricorde, je m’interroge. A la sortie de la salle, personne n’a pensé que cet « arrangement » général sur le dos d’un mort était un peu… gênant ? « Abusé », comme on dit. Ce serait le bon mot d’ailleurs, il abuse un peu, le réalisateur, en tuant comme ça lui chante pour que son film avance et en vienne à parler des sujets qui l’intéressent. Si on se trouvait dans le registre de la pure comédie, ou dans la farce macabre façon famille adams, pourquoi pas mais ce n’est pas le cas, on en conviendra (la scène du crime se veut au contraire très réaliste). Même la mere du mort s’en moque complètement à la fin. Tout le monde s’endort dans le même lit ou avec une érection rédemptrice. En plus, on a bien pris soin de nous montrer avant que le cadavre en question était chiant, insistant, violent, lourd. Il ne l’aurait pas volé cet assassinat en quelque sorte. Bien sûr, le film a des qualités. Les lieux sont superbement filmés, le rythme déroutant à souhait. Mais enfin… reste un drôle de goût que tout le monde semble faire passer avec une phrase un oeu énigmatique, devenue un mantra quasi publicitaire : « un film sur la force du désir ». Certes, le désir, ce n’est pas rien, gros sujet et je ne me lance pas dans le business aujourd’hui juteux des ligues de vertu. Mais… Je me demande si ce film n’est pas plus attentif aux commentaires sur son histoire qu’à son histoire elle-même. S’il ne se concentre pas plutôt sur ce qu’il veut dire que sur ce qu’il dit vraiment. Ou alors, j’ai manqué quelque chose, ce qui est fort possible (peut-être un truc comme « celui qui s’oppose au désir des autres le paie », mouais… un peu facile, non ?) Je le répète, je ne suis pas critique. Moi, mon boulot consiste à affabuler. Mais ça n’empêche pas de le faire avec un peu de sérieux, par exemple quand on crée et tue un personnage.
26 9 a month ago
Le nouvel album de @wheeldon.nick sort aujourd’hui. On connaît tous ces disques où un artiste, un groupe maitrise parfaitement son affaire sans avoir pour autant basculé dans la formule. Le métier n’étouffe pas l’élan des premiers jours. Au contraire, ce dernier souffle sur les braises du premier pour le tenir en éveil permanent. Voilà, c’est ce genre d’album, un truc absolument renversant. Il contient tout ce que l’on peut étiquetter folk (British, country, Dylan électrique…) mais ça se complique vite avec des cuivres parfaits, des cordes crissantes à la John Cale… les Basement tapes et Sister lovers ne sont jamais très loin . « No god no master »  et « empty room » ne font pas de quartier : oui, l’absurdité de chaque vie est bien l’unique certitude. Constat que le groove façon The band de « Start again » vient nuancer. Et puis, tout au long du disque, il y a cette voix… je me méfie toujours un peu du registre « intense et écorché » mais là, c’est du grand art. Pas d’équivalent connu aujourd’hui. Pour retomber sur un tel album, il va falloir être très patient. (Et bravo @le.pop.club.records pour cette sortie.)
Le nouvel album de @wheeldon.nick sort aujourd’hui. On connaît tous ces disques où un artiste, un groupe maitrise parfaitement son affaire sans avoir pour autant basculé dans la formule. Le métier n’étouffe pas l’élan des premiers jours. Au contraire, ce dernier souffle sur les braises du premier pour le tenir en éveil permanent. Voilà, c’est ce genre d’album, un truc absolument renversant. Il contient tout ce que l’on peut étiquetter folk (British, country, Dylan électrique…) mais ça se complique vite avec des cuivres parfaits, des cordes crissantes à la John Cale… les Basement tapes et Sister lovers ne sont jamais très loin . « No god no master » et « empty room » ne font pas de quartier : oui, l’absurdité de chaque vie est bien l’unique certitude. Constat que le groove façon The band de « Start again » vient nuancer. Et puis, tout au long du disque, il y a cette voix… je me méfie toujours un peu du registre « intense et écorché » mais là, c’est du grand art. Pas d’équivalent connu aujourd’hui. Pour retomber sur un tel album, il va falloir être très patient. (Et bravo @le.pop.club.records pour cette sortie.)
41 3 a month ago
« Un roman mélodieux et limpide. »
La face nord vue par @laurencecaracalla  dans Le Figaro d’aujourd’hui. (Avec une photo signée @francoisgrivelet )
« Un roman mélodieux et limpide. » La face nord vue par @laurencecaracalla dans Le Figaro d’aujourd’hui. (Avec une photo signée @francoisgrivelet )
149 8 a month ago
CE SOIR, RENCONTRE DÉDICACE AVEC JEAN-PIERRE MONTAL POUR SON DERNIER ROMAN : 

🧡🧡🧡🧡🧡🧡 🧡
🧡LA FACE NORD 🧡
🧡🧡🧡🧡🧡🧡🧡

🏆 «La Face Nord » a obtenu le PRIX DES DEUX MAGOTS ! 

💍  Ce roman est un bijou, la presse en parle : 
 « Un conte virtuose » - «Un roman de forme parfaite » - «Un admirable roman, aussi dense que bref » - «Un roman mélancolique et racé » - «Le roman de Jean-Pierre Montal plane au dessus de cette rentrée » 

⏰ Nous vous attendons ce soir, à 18:30, à la @librairie_la.montee.du.soir pour cette rencontre dédicace qui s’annonce passionnante !!! 

@jeanpierre.montal @editions_seguier #lafacenord #elleetlui @lesdeuxmagots #prixdesdeuxmagots #rentreelitteraire #rentreelitteraire2024 #coupdecoeurlitteraire #jaimelire #avisdelecture #chroniquelitteraire #librairieindépendante #librairieindependante #bookstagram #bookstagrammer #bookstagrammeuse
CE SOIR, RENCONTRE DÉDICACE AVEC JEAN-PIERRE MONTAL POUR SON DERNIER ROMAN : 🧡🧡🧡🧡🧡🧡 🧡 🧡LA FACE NORD 🧡 🧡🧡🧡🧡🧡🧡🧡 🏆 «La Face Nord » a obtenu le PRIX DES DEUX MAGOTS ! 💍 Ce roman est un bijou, la presse en parle : « Un conte virtuose » - «Un roman de forme parfaite » - «Un admirable roman, aussi dense que bref » - «Un roman mélancolique et racé » - «Le roman de Jean-Pierre Montal plane au dessus de cette rentrée » ⏰ Nous vous attendons ce soir, à 18:30, à la @librairie_la.montee.du.soir pour cette rencontre dédicace qui s’annonce passionnante !!! @jeanpierre.montal @editions_seguier #lafacenord #elleetlui @lesdeuxmagots #prixdesdeuxmagots #rentreelitteraire #rentreelitteraire2024 #coupdecoeurlitteraire #jaimelire #avisdelecture #chroniquelitteraire #librairieindépendante #librairieindependante #bookstagram #bookstagrammer #bookstagrammeuse
59 1 a month ago